Epidémiologie et prise en charge des morsures de serpents en Guinée

Dès l'aube de la création de l'IRBAG  autre fois appelé Institut Pasteur de Kindia #IPK il ya 98 ans.

Alors que la colonisation sonnait ses beaux jours en Afrique, l'administrateur français était lui-aussi, comme les autochtones, victime de morsures de serpents, d'où l'urgente nécessité de trouver un remède pour non seulement protéger l'administrateur blanc mais sauvegarder la main d'oeuvre noire.

Pour se faire il fallait créer quelque part en Afrique une unité de production de sérum antivenimeux.La Guinée, en raison des nombreuses espèces des serpents y rencontrées, a été choisie et, c'est à Pastoria que le premier serpentorium a été construit. L'exploitation de venin de serpent a démarré et s'est poursuivie jusqu'en 1965.

Fort malheuresement la politique de séparation des deux pays (Guinée-France) n'a pas permis à la Guinée de s'épanouir dans ce domaine. Qu'à cela ne tienne, des scientifiques ont tenu même sans fortune à entretenir le secteur jusqu'a ce que les paires à l'international, reconnaissent que l'IRBAG est aujourd'hui de loin en avance sur l'étude des serpents et la prise en charge des envenimations en Afrique.

Au moment où l'OMS reconnait les morsures de serpents comme un probleme de santé publique, et classe la thématique comme Maladie Tropicale Negligée.
✔L'IRBAG a jugé utile d'organiser cet atelier pour partager avec vous la nouvelle stratégie de prise en charge de ce fléau.
✔️Thème : ''Epidémiologie et prise en charge des morsures de serpents en Guinée''.
Groupe cible: Professionnels de la santé.
Animée par Professeur Mamadou Cellou BALDE, Directeur Adjoint à l'IRBAG.

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